Tout commença lors du premier parallèle, auquel je fus confronté à Théo. Je parti comme un mort de faim pour attaquer cette pluie de piquet rouge et bleue.
En voyant la légère avance de Théo sur moi, je mis le turbo et, dans ma précipitation, je me suis mangé une porte… Comme un mort de faim. On pouvait dire que je ne me suis pas raté, surtout quand Mr.Vokoun m’a dit « t’inquiète pas Georges, Tu as seulement les deux lèvres éclatée, et aussi les dents qui se sont enfoncés d’un demi centimètre, il t’en manque deux ». Pour ma part, je sentais aussi un trou à l’intérieur de mon palais.
Je fus emmené à l’hôpital, ou je fus directement mis sous perfusion, les radios, les scanners furent fait à plusieurs reprises, si bien que je m’endormis en tenue de ski dans une chambre de médecin à 11 heures du soir, Madame Dean à mes côtés. On me réveilla à 6 heures, en me disant que j’allais être complétement endormi, afin que l’on m’opère pendant 4 heures.
A mon réveil, je vis mes parents à me côtés, qui m’expliquèrent que j’allais malheureusement devoir manger des aliments liquides pendant un bon bout de temps.
A mon deuxième réveil, j’étais dans une chambre plutôt spacieuse, A ma droite mon père, des magasines à la main. De l’autre, cette foutue perfusion. Les heures passèrent, avec la bonne nouvelle que je pourrais partir de l’hôpital dans deux jours me rassurait.
Ce qui était moins rassurant, c’était ma tête de babouin édenté et écorché de partout.
L’attente était interminable, surtout à cause de mon estime, que je réussi a gardé maintes fois. En effet, je ne me suis pas douché pendant 6 jours car j’aurais du être accompagné par une infirmière (d’un certain âge), j’optais donc pour la première option, ce que je trouvais plus enviable.
Après 5 jours, le petit Georges, nourrit à la soupe de polenta. Put enfin sortir de l’hôpital, il rentra chez lui avec les aisselles puantes, et remangea de la soupe le soir.
Morale : ne mangez pas de portes de ski sous-peine de ne plus pouvoir en manger pendant 4 mois.
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